Su gentile segnalazione, volentieri pubblico la
prefazione di S.Em.za il card. Burke ad un testo, in edizione francese, di S. Ecc.za Mons. Schneider, afferente il tema della Comunione sulla mano, quale inizio e culmine dell'odierna crisi della Chiesa.
Del resto, anche noi avevamo segnalato qualche mese fa come i Santi ed i fedeli ricevessero la S. Comunione; modalità ben diversa da quella attuale .... .
Si tratta, dunque, di un testo estremamente attuale e meritevole di attenta lettura e riflessione.
Lors du dernier pèlerinage Summorum Pontificum à
Rome, en octobre 2013, Mgr Schneider avait présenté son
dernier ouvrage aux pèlerins de langue italienne. Ce livre, sorti aux Éditions
Vaticanes et intitulé Corpus Christi, fait suite à Dominus est dont
les éditions Tempora publièrent en 2008 la traduction française. Après avoir
insisté, dans Corpus Christi, sur la présence réelle de Notre Seigneur
Jésus-Christ dans la sainte Eucharistie et le respect qui lui est dû,
Mgr Schneider, plaide aujourd’hui, avec encore plus de vigueur et clarté,
pour l’abandon de la pratique de la communion dans la main, née comme une
tolérance, un indult, mais qui s’est abusivement généralisée et est devenue la
« règle » depuis les années 70, selon un processus bien connu de la
subversion des normes.
Renaissance catholique, qui publie la version française de ce petit (116
pages) mais précieux ouvrage de Mgr Schneider aux éditions
Contretemps, a tenu à demander au cardinal Burke, Préfet du
Tribunal de la Signature apostolique, une préface spécifique pour cette édition
française. Mgr Schneider et le cardinal Burke, qui l’appuie ainsi de tout
son autorité morale, se placent courageusement dans la ligne de Mgr Juan Rodolfo
Laise, alors évêque de San Luis en Argentine, qui avait écrit un livre sur ce
sujet, La communion dans la main. Documents et histoire, publié en
français par le Centre International d’Études Liturgiques (1999).
C’est le texte de cette préface que nous vous proposons
cette semaine en vous invitant chaleureusement à vous procurer le livre de
Mgr Schneider et à en faire la promotion dans vos paroisses.
Corpus Christi – La communion dans la main au cœur de
la crise de l’Église,
Éditions Contretemps pour Renaissance catholique Publications,
116 pages, 13 euros.
En vente sur le site de Renaissance catholique ou sur demande au 01 47 36 17 36.
Préface du cardinal Raymond Leo Burke
pour l’édition française du livre de
Mgr Athanasius
Schneider,
Corpus Christi – La communion
dans la main au cœur de la crise de l’Église
dans la main au cœur de la crise de l’Église
Rien n’est plus important dans la vie d’un catholique que
la sainte Eucharistie. Le décret sur la vie et le ministère des prêtres du IIe
concile du Vatican, s’inspirant d’un texte de saint Thomas d’Aquin,
déclarait : « La sainte Eucharistie contient tout le trésor spirituel
de l’Église, à savoir le Christ Lui-même, notre Pâque, le Pain vivant, Lui dont
la chair, vivifiée et vivifiant par l’Esprit Saint, donne la vie aux hommes,
les invitant et les conduisant à offrir, en union avec Lui, leur propre vie,
leur travail, toute la création. » (1) Ce même texte continue ainsi :
« On voit donc alors comment l’Eucharistie est bien la source et le sommet
de toute l’évangélisation : tandis que les catéchumènes sont
progressivement conduits à y participer, les fidèles, déjà marqués par le
baptême et la confirmation, trouvent en recevant l’Eucharistie leur insertion
plénière dans le Corps du Christ » (2).
La sainte Eucharistie est le mystère par excellence de la
Foi. À travers l’action de la sainte Messe, le Christ, assis en gloire à la
droite du Père, descend sur les autels des églises et des chapelles du monde
entier pour rendre à nouveau présent son sacrifice sur le Calvaire, sacrifice
unique par lequel l’homme est sauvé du péché et parvient à la vie dans le
Christ grâce à l’effusion du Saint-Esprit. C’est par la sainte Eucharistie que
la vie quotidienne d’un catholique reçoit à la fois inspiration et force.
Uni de cœur avec le Christ dans le sacrifice
eucharistique, le catholique fervent est appelé à n’être qu’un avec Lui à
chaque instant de chacune de ses journées, portant la Croix et participant
ainsi au travail incessant et sans prix de son Amour pur et généreux pour tous
les hommes, au-delà de toute frontière. Recevant du Cœur Eucharistique de Jésus
l’aliment céleste de son Corps, de son Sang, de son Âme et de sa Divinité, nous
sommes fortifiés pour vivre de façon extraordinaire les circonstances
ordinaires de la vie quotidienne. C’est pourquoi, au-delà de l’obligation grave
de participer chaque dimanche au Saint Sacrifice de la Messe, les catholiques
sont invités à participer à la sainte Messe tous les jours, lorsque cela est
possible (3).
À partir du moment où l’on a compris la réalité de la
sainte Eucharistie – c’est-à-dire, qu’il s’agit du Corps, du Sang, de l’Âme et
de la Divinité du Christ donnés à l’homme comme pain céleste pour le soutenir
spirituellement dans son pèlerinage terrestre et comme gage de sa destinée aux
noces célestes de l’Agneau (Ap XIX, 9), – l’on commence aussi à comprendre
la profonde révérence qu’il faut pour traiter et recevoir la sainte
Eucharistie. Ainsi, au long des siècles, les fidèles ont fait la génuflexion en
arrivant devant le Saint Sacrement et se sont agenouillés en adoration devant
la Présence Réelle de Notre Seigneur dans la sainte Eucharistie. De la même
façon, sauf circonstances extraordinaires, seul le prêtre ou le diacre touchait
la sainte Hostie ou le calice contenant le Précieux Sang. Une des impressions
les plus frappantes de mon enfance est cette grande délicatesse envers le Saint
Sacrement que m’ont enseignée mes parents, notre curé et les religieuses de nos
écoles catholiques. Je me souviens particulièrement des avertissements
minutieux qui m’ont été donnés, avant d’être admis à aider le prêtre comme
servant de messe, sur la révérence due à la Présence Réelle.
Les signes de Foi eucharistique se manifestaient
également dans la beauté de l’architecture et de l’ameublement des églises et
des chapelles, dans la qualité des ornements, vases et linges servant au
sacrifice eucharistique, et dans la langue et la musique spéciales – ou plutôt
sacrées – employées dans le Culte divin. Dans l’attention réservée au Corps et
au Sang du Christ, l’Église s’est toujours souciée d’imiter davantage l’exemple
de Marie, sœur de Lazare, qui a oint Jésus avec de l’huile très précieuse juste
avant sa Passion et sa Mort. Alors que Judas le traître contestait ce geste de
profonde vénération et d’amour, comme un gaspillage de ressources qui auraient
pu être utilisées pour s’occuper des pauvres, Notre Seigneur répondit que Marie
avait agi d’une manière juste et noble, témoignant de la révérence à son Corps,
qu’il devait sacrifier pour accomplir le salut éternel du genre humain (Jn XII,
1-8).
Dans ce sens, j’ai toujours été très inspiré par
l’exemple de saint François d’Assise qui a pratiqué les plus grandes austérités
dans sa vie religieuse de consacré, tout en insistant pour que le plus grand
soin fût apporté à honorer le Saint Sacrement, même de façon somptueuse, et à
n’utiliser que les matériaux les plus précieux pour le culte eucharistique.
Saint François n’a pas hésité à avertir les prêtres (que leur office oblige
d’abord à rendre honneur au Très Saint Sacrement), à propos de leurs manques
d’égard envers cette réalité sacrée entre toutes (4).
Parmi tous les riches aspects de la Foi et de la pratique
eucharistiques, primordiale est certainement la manière dont les fidèles
reçoivent le Corps du Christ dans la sainte Communion. Au moment de la sainte
Communion, le fidèle, bien conscient de son indignité et se repentant de tous
ses péchés, se présente devant le Seigneur qui, dans son amour sans fin et sans
mesure, offre son Corps comme aliment céleste pour que nous le recevions. Je me
rappelle bien, dans mon enfance, la diligence dont faisaient preuve mes
parents, ainsi que les prêtres et les religieuses de l’école catholique, pour
préparer les enfants à recevoir pour la première fois la sainte Communion. Je
me souviens aussi des fréquents rappels à la révérence et à l’amour qu’il nous
fallait démontrer en recevant la sainte Communion et en faisant notre action de
grâces immédiatement après la réception du sacrement.
À l’époque de ma Première Communion, le 13 mai 1956, la
sainte Hostie se recevait à la Sainte Table, sur les lèvres et à genoux, les
mains recouvertes d’une nappe. Cette manière de recevoir la sainte Communion
m’a toujours frappé comme étant l’expression la plus haute de l’enfance
spirituelle enseignée par Notre Seigneur (Mt XVIII, 1-4),
et dont sainte Thérèse de
Lisieux est l’une des
figures les plus remarquables (5). À cette même époque de ma vie, mon père était gravement malade et il devait rester alité à la maison :
il mourut au mois de juillet 1956. Je me rappelle la grande préparation et
l’attention qu’il manifestait chaque fois que le prêtre venait lui porter la
sainte Communion. L’on dressait une petite table à côté de son lit avec un
crucifix, des cierges et une nappe spéciale. L’on accueillait le prêtre en
silence à la porte avec un cierge allumé et, même si mon père ne pouvait pas se
lever, tous restaient à genoux pendant la cérémonie.
Des années plus tard, en mai 1969, la pratique de
recevoir la Communion dans la main a été autorisée, au jugement des Conférences
épiscopales, en parallèle avec la pratique multiséculaire de recevoir la
communion directement sur les lèvres (6). L’un des arguments avancés pour
introduire cette deuxième option était l’existence d’un usage antique de
recevoir la sainte Communion dans la main (7). Dans le même temps,
l’instruction de la Congrégation pour le Culte Divin, qui permettait la
pratique de la réception de la sainte Communion dans la main, soulignait le
fait que la tradition multiséculaire de recevoir la Communion sur la langue
devait être préservée en raison du respect des fidèles envers la sainte
Eucharistie qu’exprime cette pratique (8). En ce sens, il est intéressant de
noter que le Pape Paul VI (durant le pontificat duquel la permission de
recevoir la sainte Communion dans la main a été donnée), dans sa lettre
encyclique Mysterium Fidei sur la doctrine et le culte du Très
Saint Sacrement promulguée quatre années avant la concession de cette
permission, se réfère à un usage antique des moines vivant dans la solitude,
ainsi que des chrétiens persécutés, selon lequel ils prenaient la sainte Communion
avec leurs propres mains. Néanmoins, le Pape ajoute aussitôt que cette
référence à un usage d’autrefois ne remet pas en question la discipline qui
s’est répandue par la suite concernant la manière de recevoir la sainte
Communion (9).
La pratique traditionnelle est mieux comprise à la
lumière de l’herméneutique de la réforme dans la continuité, opposée à
l’herméneutique de la discontinuité et de la rupture, dont a parlé le Pape
Benoît XVI dans son discours de Noël 2005 à la Curie romaine. Dans l’herméneutique
de la continuité, l’unique Église « grandit dans le temps et (…) se
développe, restant cependant toujours la même. » (10) Ainsi, la pratique
traditionnelle de recevoir la sainte Communion manifeste-t-elle une croissance
et un développement tant de la Foi eucharistique que de l’expression de
révérence envers le Très Saint Sacrement. L’on pourrait dire par rapport à la
manière traditionnelle de communier ce que le Pape Benoît XVI disait par
rapport à l’Adoration eucharistique dans son Exhortation Apostolique
post-synodale Sacramentum Caritatis : « L’Adoration
eucharistique n’est rien d’autre que le développement explicite de la
célébration eucharistique, qui est en elle-même le plus grand acte d’adoration
de l’Église. » (11)
Malheureusement, l’entreprise de rétablissement de
l’antique usage survint précisément à un moment où de nombreux abus liturgiques
avaient gravement diminué la révérence et la dévotion dues au Saint Sacrement.
En outre, l’époque était à une sécularisation et à un relativisme croissants,
dont les effets furent dévastateurs dans l’Église. Qui plus est, la
“restauration” de cette pratique fut incomplète, puisqu’elle se borna à la
réception de la Communion dans la main sans toutefois incorporer les autres
détails très riches de l’usage antique. À la suite de cela, la réception de la
sainte Communion est devenue l’occasion de négligences – voire même
d’irrévérences effectives – et, dans quelques cas particulièrement déplorables,
le Saint Sacrement reçu dans la main n’est pas consommé mais au contraire
soumis à des formes d’abus, jusqu’au cas extrême où des personnes emportent le
Corps du Christ pour Le profaner plus tard au cours d’une « messe
noire ». Dans ma propre expérience pastorale, les cas où la sainte Hostie
est laissée dans un livre de chants ou en d’autres endroits, ou même emportée à
la maison pour la dévotion privée – cela me déplaît de devoir le
signaler –, n’ont pas été rares. Il est également attristant d’avoir vu
assez fréquemment des communiants arracher littéralement l’Hostie de mes mains
plutôt que de recevoir le Corps du Christ de manière convenable.
Mgr Athanasius Schneider, pasteur d’âmes exemplaire,
a fait face avec un amour courageux à la situation actuelle quant à la
réception de la sainte Communion dans le rite romain. Puisant en sa propre et
riche connaissance de la foi et de la pratique eucharistiques en un temps de
persécution dans son pays natal, il a été poussé à étudier en profondeur cet
antique usage de recevoir la sainte Communion dans la main, ainsi que son
actuelle restauration. De façon claire et soignée, il explique le soin qu’avait
la pratique antique d’éviter tout ce qui peut suggérer l’auto-communion – en
soulignant l’aspect infantile de la Communion – ; et d’empêcher que même
une seule parcelle ne soit perdue, et ainsi sujette à profanation. Il décrit
aussi brièvement les étapes de l’introduction de l’usage actuel, qui diffère de
manière importante de la vieille pratique de l’Antiquité.
Il présente ensuite soigneusement les conséquences les plus
graves de la pratique actuelle de réception de la communion dans la main :
1) la réduction ou la disparition de tout geste de révérence et
d’adoration ; 2) l’emploi pour la réception de la sainte Communion
d’un geste habituellement utilisé pour la consommation des aliments ordinaires,
d’où résulte une perte de Foi en la Présence Réelle, surtout parmi les enfants
et les jeunes ; 3) la perte abondante de parcelles de la sainte
Hostie et leur profanation consécutive, surtout en l’absence de plateau lors de
la distribution de la sainte Communion ; et, 4) un autre phénomène
qui se répand de plus en plus : le vol des saintes Espèces.
Prenant en considération toutes ces conséquences,
Mgr Schneider dit à bon droit que la justice, – c’est-à-dire le respect du
droit du Christ d’être reçu dans la sainte Communion avec la révérence et
l’amour convenables, et de celui des fidèles de recevoir la sainte Communion
d’une manière qui exprime au mieux l’adoration révérencielle, – exige que la
pratique actuelle concernant la réception de la sainte Communion dans le rite
romain soit sérieusement étudiée en vue d’une réforme dont le besoin se fait
lourdement sentir.
Un aspect tout à fait impérieux de la présentation de
Mgr Schneider regarde le droit du Christ, le ius Christi. En
nous rappelant l’humilité totale de l’amour du Christ qui se donne à nous dans
la petite Hostie, fragile par nature, Mgr Schneider nous remet à l’esprit
la grave obligation de protéger et d’adorer Notre Seigneur. En effet, dans la
sainte Communion, il se fait, en raison de son amour incessant et
incommensurable pour l’homme, le plus petit, le plus faible, le plus délicat
d’entre nous. Les yeux de la Foi reconnaissent la Présence Réelle dans les
parcelles, même les plus petites, de la sainte Hostie et nous conduisent ainsi
à l’Adoration amoureuse.
Il ne me reste qu’à remercier Mgr Athanasius
Schneider pour sa minutieuse étude de la question de la réception de la sainte
Communion, expression prééminente de la foi eucharistique. Son étude est
remplie du plus profond amour de Jésus Eucharistie, amour dans lequel il a été
formé à une époque où l’Église était sous le coup de la persécution dans son
pays. J’espère que l’étude présentée par ce volume inspirera une Foi
eucharistique toujours plus profonde et plus ardente chez le lecteur. J’espère
aussi que ce livre servira d’occasion pour renouveler le mode de réception de
la sainte Communion, discipline qui dispose le communiant à reconnaître
pleinement le Corps, le Sang, l’Âme et la Divinité du Christ et, ainsi, à
recevoir Jésus Eucharistie avec une révérence et une adoration amoureuses.
C’est dans cette réception révérencielle et amoureuse de Notre Seigneur dans la
sainte Communion que nous devons puiser la force de transformer et renouveler
nos vies personnelles et notre société, avec la force de l’Évangile, comme le
faisaient les premiers chrétiens.
Puisse l’étude du livre de Mgr Schneider amener les
fidèles, au moment de la sainte Communion, à reconnaître la Présence Réelle du
Seigneur ressuscité et à faire leurs les paroles de saint Jean l’Évangéliste à
saint Pierre, lorsque le Seigneur ressuscité apparut aux disciples sur les
bords du lac de Tibériade au cours de la pêche miraculeuse : « C’est
le Seigneur ! » (Jn XXI, 7).
Raymond Leo Cardinal BURKE
Rome, le 7 juin 2014, Vigile de la Pentecôte
(1) « In Sanctissima enim Eucharistia totum
bonum spirituale Ecclesiae continetur, ipse scilicet Christus, Pascha nostrum
panisque vivus per Carnem suam Spiritu Sancto vivificatam et vivificantem vitam
praestans hominibus, qui ita invitantur et adducuntur ad seipsos, suos labores
cunctasque res creatas una cum Ipso offerendos. » Concile œcuménique
Vatican II, Décret Presbyterorum Ordinis, « De
Presbyterorum ministerio et vita », 7 décembre 1965, Acta
Apostolicae Sedis 58 (1966), 997, n. 5. Traduction
française : « Concile Vatican II. Les Documents » (Paris, Médiaspaul, 2012), p. 361, n. 5.
(2) « Quapropter Eucharistia ut fons et
culmen totius evangelizationis apparet, dum catechumeni ad participationem
Eucharistiae paulatim introducuntur, et fideles, iam sacro baptismate et
confirmatione signati, plene per receptionem Eucharistiae Corpori Christi
inseruntur. » Ibid., 997, n. 5. Traduction française :
Ibid., p. 361, n. 5.
(3) Pie XII, Lettre encyclique Mediator
Dei et hominum, « De Sacra Liturgia », 20 novembre
1947, Acta Apostolicae Sedis 39 (1947), pp. 564-565; et
Paul VI, Lettre encyclique Mysterium Fidei, « De doctrina
et cultu SS. Eucharistiae », 3 septembre 1965, Acta Apostolicae
Sedis 57 (1965), 771.
(4) « Epistola
ad Clericos », Fontes Franciscani, ed. Stefano Brufani,
Enrico Menestò et al. (Assisi: Edizioni Porziuncula, 1995), pp. 59-60 (Recensio
prior) et 60-61 (Recensio posterior).
(5) Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la
Sainte-Face, Œuvres complètes (Paris, Les Éditions du Cerf et Desclée De
Brouwer, 1992), pp. 219-221.
(6) Sacrée
Congrégation pour le culte divin, Instruction Memoriale Domini
celebrans, « De modo Sanctam Communionem ministrandi »,
29 mai 1969, Acta Apostolicae Sedis 61 (1969), 541-547.
(7) Ibid.,
542.
(8) Ibid., 543.
(9) Paul VI, Lettre encyclique Mysterium
Fidei, « De doctrina et cultu SS. Eucharistiae »,
3 septembre 1965, Acta Apostolicae Sedis 57 (1965), 770.
(10) « … cresce
nel tempo e si sviluppa, rimanendo però sempre lo stesso, … »
Benoît XVI, discours « Ad Romanam Curiam ob omina »,
22 décembre 2005, Acta Apostolicae Sedis 98 (2006),
46.
(11) « … adoratio
eucharistica non est aliud quam evidens beneficium eucharisticae Celebrationis,
quae in se ipsa est Ecclesiae actio adorationis maxima. » Benoît XVI,
Exhortation apostolique post-synodale Sacramentum caritatis, « De
Eucharistia vitae missionisque Ecclesiae fonte et culmine »,
22 février 2007, Acta Apostolicae Sedis 99 (2007), 155,
n. 66.
Nessun commento:
Posta un commento